Soutenir l’immunité des enfants

Soutenir l’immunité des petits

Par New Africa

Le système immunitaire des petits est mis à rude épreuve. Des compléments alimentaires peuvent aider à le stimuler.

Durant l’hiver, les jeunes pa­tients sont fréquemment concernés par des pro­blé­ma­tiques d’in­fec­tions du nez, des oreilles et de la gorge à ré­pé­ti­tion. Leur répétition com­plique la vie quo­ti­dienne des fa­milles car, si elles ne sont pas graves, elles ont des consé­quences à la fois sur l’en­fant (moindre som­meil, ap­pé­tit per­turbé, ir­ri­ta­bi­lité) et sur les pa­rents (suivi de la prise des éven­tuels mé­di­ca­ments, né­ces­sité d’une sur­veillance pour li­mi­ter les sur­in­fec­tions)…

Il n’existe bien sûr pas de pro­duit mi­racle pour stimuler le sys­tème im­mu­ni­taire : il a be­soin de ces étapes pour de­ve­nir plei­ne­ment com­pé­tent. Ce­pen­dant, des com­plé­ments ali­men­taires sont dis­po­nibles pour le sou­te­nir.

Plantes et pro­duits de la ruche

La ma­jo­rité des pro­duits à base de plantes as­so­ciés à des mi­né­raux ou à des produits de la ruche bénéfiques pour l’im­mu­nité sont conseillés à par­tir de 3 ans. Côté plantes, les plus fréquemment rencontrées sont l’échi­na­cée, le su­reau, le thym ou le cas­sis mais aussi les adap­to­gènes tels que l’éleu­thé­ro­coque ou le gin­seng. De la vi­ta­mine C est ap­por­tée par les ex­traits d’acé­rola, d’ar­gou­sier ou de cy­nor­rho­don. Cuivre et man­ga­nèse com­plètent la for­mule, avec par­fois de la vi­ta­mine D3.
En dessous de 3 ans, on optera plutôt pour des probiotiques, pour armer le microbiote intestinal.

Des formules sécurisées

La plupart des for­mules sont sans co­lo­rants de syn­thèse ni arômes ar­ti­fi­ciels, voire sans conser­va­teurs. Mais dans ce dernier cas, il faudra bien penser à stocker le flacon au froid (au maximum durant 1 mois) une fois entamé. Pour plaire aux en­fants, un im­por­tant tra­vail sur le goût et la su­cro­sité de la so­lu­tion a été réa­lisé par les la­bo­ra­toires. Ces pro­duits sont pré­pa­rés à base de si­rop d’agave, à in­dex gly­cé­mique bas, ou de miel (ce­lui d’aca­cia est éga­le­ment à IG bas). Ils contiennent aussi des arômes na­tu­rels type fruits rouges. Attention aux palais délicats : les références riches en pro­duits de la ruche ont un goût très typé, qui peut surprendre voire déplaire aux enfants qui n’en ont pas l’habitude.

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